Quelques stratégies pour améliorer la compréhension écrite

Quelques stratégies pour améliorer la compréhension écrite

Comme nous savons, l’enseignement et l’apprentissage d’une langue étrangère consiste de quatre compétences : compréhension orale, compréhension écrite, expression écrite, expression orale. Parmi lesquelles, la compréhension écrite (C.E) joue un rôle important parce que la lecture constitue une procédure essentielle pour acquérir des connaissances et des structures langagières qui sont utiles au développement des autres compétences. De plus, lire des documents fait partie de notre vie quotidienne. Nous lisons pour obtenir des informations précises (affiches, panneaux, horaires, menus), complètes (articles, journaux, encyclopédies, notices de montage) ou le plaisir (nouvelles, romans, bandes dessinées). La compréhension de documents écrits intervient aussi dans les domaines scientifique, technologique, commercial, artistique.

Ensuite, dans les concours ou les examens pour obtenir les diplômes ou certificats au niveau provincial ou national, la C.E occupe toujours une grande partie de la note (5/20 points). Alors, si les élèves maîtrisent bien leur lecture, ils auront plus de chances d’obtenir la bonne note.

Cependant, l’enseignement et l’apprentissage de la C.E posent des problèmes en classe de langue. Nous avons travaillé avec nos élèves sur la compréhension de textes et nous avons remarqué que de nombreux élèves rencontrent des difficultés en lecture malgré leur bon niveau de connaissances linguistiques. De plus, avec notre expérience d’enseignement, nous constatons que tous les élèves ayant de bonnes connaissances linguistiques ne sont pas ceux qui ont de bonnes notes en C.E. Il est étonnant qu’ils comprennent presque tous les mots, les phrases d’un texte mais ils n’arrivent pas à la

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Table de matières
1. Introduction 1
1.1. Problématique de recherche 1
1.2. Objectifs de recherche 1
1.3. Objets de recherche 2
1.4. Méthodologie de recherche 2
2. Contenu 2 
2.1. Cadre théorique 2
2.1.1. Définition de la compréhension écrite 2
2.1.2. Typologie des textes 3
2.1.3. Qu’est-ce que les stratégies de lecture ? 3
2.2. Etat des lieux de l’enseignement et l’apprentissage de la compréhension écrite 4
2.3. Application des stratégies 4
2.3.1. Façons de lecture 4
2.3.2. Stratégies avant la lecture 6
2.3.3. Stratégies pendant la lecture 6 
2.3.4. Stratégies après la lecture 9
2.4. Résultats de recherche 9
3. Conclusion et propositions 10
3.1. Conclusion 10
3.2. Propositions 11
BIBLIOGRAPHIE 12
1. Introduction
1.1. Problématique de recherche
Comme nous savons, l’enseignement et l’apprentissage d’une langue étrangère consiste de quatre compétences : compréhension orale, compréhension écrite, expression écrite, expression orale. Parmi lesquelles, la compréhension écrite (C.E) joue un rôle important parce que la lecture constitue une procédure essentielle pour acquérir des connaissances et des structures langagières qui sont utiles au développement des autres compétences. De plus, lire des documents fait partie de notre vie quotidienne. Nous lisons pour obtenir des informations précises (affiches, panneaux, horaires, menus), complètes (articles, journaux, encyclopédies, notices de montage) ou le plaisir (nouvelles, romans, bandes dessinées). La compréhension de documents écrits intervient aussi dans les domaines scientifique, technologique, commercial, artistique.
Ensuite, dans les concours ou les examens pour obtenir les diplômes ou certificats au niveau provincial ou national, la C.E occupe toujours une grande partie de la note (5/20 points). Alors, si les élèves maîtrisent bien leur lecture, ils auront plus de chances d’obtenir la bonne note.
Cependant, l’enseignement et l’apprentissage de la C.E posent des problèmes en classe de langue. Nous avons travaillé avec nos élèves sur la compréhension de textes et nous avons remarqué que de nombreux élèves rencontrent des difficultés en lecture malgré leur bon niveau de connaissances linguistiques. De plus, avec notre expérience d’enseignement, nous constatons que tous les élèves ayant de bonnes connaissances linguistiques ne sont pas ceux qui ont de bonnes notes en C.E. Il est étonnant qu’ils comprennent presque tous les mots, les phrases d’un texte mais ils n’arrivent pas à la compréhension de tout le texte. 
A partir de la nécessité de la C.E, des besoins et des motivations personnelles et professionnelles, nous constatons qu’il est absolument nécessaire de comment faire pour que les élèves puissent améliorer leur lecture en trouvant les différentes façons appelées « stratégies ».
1.2. Objectifs de recherche
Généralement, notre étude est dans le but de donner les stratégies appropriées pour remédier à cette situation et pour l’améliorer, il est nécessaire d’enseignement explicite des stratégies de lecture mobilisées en fonction des démarches d’entraînement pour motiver les étudiants et pour les inciter à lire et à comprendre. 
1.3. Objets de recherche
Notre étude concentre la généralité de la C.E, l’état des lieux de l’enseignement et l’apprentissage de la C.E. Nous proposons aussi les stratégies appliquées pour élever l’efficacité de la lecture des élèves.
1.4. Méthodologie de recherche
Pour cette étude, le recours à la documentation est très nécessaire. La recherche documentaire permet d’obtenir les théories essentielles sur la compréhension écrite. Après le survol théorique, en basant sur notre expérience dans l’enseignement de la C.E dans les classes de français et sur la demande du concours national, nous proposerons interventions pédagogiques pour une amélioration la stratégie de lecture chez les apprenants. Enfin, la méthode analytique est utile pour traiter les données.
2. Contenu
2.1. Cadre théorique
2.1.1. Définition de la compréhension écrite
La compréhension se définit comme la capacité à décoder et interpréter le sens d’un message verbal émis par autrui. L’expression « décodage de l’écrit » est aussi souvent employée car elle se place davantage du point de vue de l’élève, prenant en compte la difficulté de celui-ci à décrypter ces signes inconnus. Ainsi, l’élève, dans son accès au sens, doit passer par une succession d’étapes qui lui permettront de percer un code différent du leur, que ce soit sur le plan linguistique que culturel. Trois niveaux apparaissent lors du travail de compréhension de l’écrit : il s’agit de la compréhension globale, de la compréhension détaillée et de la compréhension de l’implicite. 
D’après Vigner, G (1979) [15, p. 37], “La compréhension est l’ensemble des activités qui permettent d’analyser les informations reçues en terme de classe d’équivalent fonctionnelle, c’est-à-dire l’ensemble des activités de mise en relation d’information nouvelles avec des données acquises et stockées en mémoire à long terme”. La compréhension exige l’activité mentale du lecteur et suppose sans cesse des prises de décision: il identifie, il anticipe, il vérifie mais aussi il trie, il élimine, il risque des “interprétations”, la décision ultime intervenant lorsqu’il décide qu’il a compris.
« La compréhension de textes est un processus complexe. Elle soulève souvent des problèmes pour le lecteur, la compréhension de texte en langue étrangère soulève aussi des problèmes à résoudre » - Nguyễn Quang Thuấn (2002) [20, p. 82].
2.1.2. Typologie des textes
« Le classement des textes se fait en types uniquement ou en types et en genres, opposant des types abstraits, généraux et des genres, constitués par des mélanges de types et caractérisant des phénomènes plus ancrés dans la réalité » (ADAM, 1997, repris dans le Dictionnaire de didactique du FLE et seconde, 2003 : 115)
Dans la didactique, on rencontre toujours des notions bien différentes sur les types de textes pour l’exploitation de l’écriture ou de la lecture. Il existe plusieurs critères selon lesquels on classe des textes mais on a tendance à pencher sur le critère « l’intention qui préside à l’élaboration du texte » et on a :
- Texte informatif : il vise à informer les lecteurs.
- Texte narratif : il raconte un fait, un événement en situant son déroulement dans le temps et dans l’espace.
- Texte descriptif : il s’efforce par les mots d’évoquer une réalité que le lecteur ne voit pas mais qu’il peut imaginer. Il renseigne, sur un espace, sur un physique (portrait) et peut traduire les impressions ressenties par le descripteur.
- Texte explicatif : il cherche à informer, à expliquer et à rendre plus clair un sujet que le lecteur ou l’interlocuteur est censé ignorer. Il a une fonction pédagogique.
- Texte injonctif : il pousse à l’action, à faire appliquer des consignes. Il implique parfois l’ordre ou l’interdiction.
- Texte argumentatif : il vise à convaincre de la justesse d’une idée, d’une pensée, d’un avis.
2.1.3. Qu’est-ce que les stratégies de lecture ?
Une stratégie de lecture est un moyen ou une combinaison de moyens que le lecteur met en œuvre consciemment pour comprendre un texte. Autrement dit, une stratégie de lecture est considérée comme une technique de lecture ou un outil très efficace pour faciliter la recherche du sens du texte comme F.CIRCUREL a dit: "On parle donc des stratégies de lecture pour désigner la manière dont on lit un texte » (F.CIRCUREL, 1991, Lecture interactive, p.16). Notre manière de lire varie selon les types de textes et selon notre intention de lecture. En effet, on ne lit pas de même manière un journal, un roman, un rapport scientifique ou une lettre commerciale. Le lecteur ne lit pas tout mais uniquement ce qui l'intéresse, à partir de ses préoccupations du moment, des raisons qu'il a de lire. Il y a des stratégies de lecture différentes qu'un lecteur peut utiliser en fonction du type de texte qu'il lit, de son objectif de lecture, de sa motivation et du temps dont il dispose. Pour ce point de vue, J. Weiss a déclaré très clairement: "Lire ou apprendre à lire, c'est rechercher une signification et en mettre en œuvre les stratégies et les moyens les plus appropriés pour y parvenir, en s'appuyant sur les acquisitions déjà réalisées et en tenant compte des types d'écrit proposés et des intentions qui motivent la lecture". 
Le lecteur stratégique planifie sa lecture, en vérifie le bon déroulement et effectue un retour sur cette dernière. S'il rencontre un problème en cours de route, il est capable de reconnaître qu'il y a perte de compréhension et de choisir le moyen qui convient le mieux pour récupérer le sens du texte. À l'inverse, le lecteur non stratégique ne reconnaît pas qu'il vient de perdre le fil du texte; quand il le réalise, il ne connaît pas les stratégies susceptibles de l'aider à solutionner son problème. C’est pourquoi, les stratégies sont très importantes. Enseigner la lecture et la C.E consiste surtout à enseigner les stratégies de lecture. 
2.2. Etat des lieux de l’enseignement et l’apprentissage de la compréhension écrite
En général, l’enseignement et l’apprentissage de la C.E au lycée ne sont pas encore soignés correctement. Avec la méthode traditionnelle, on concentre principalement l’explication du vocabulaire et de la grammaire. Pour chaque leçon, on ne réserve que 45 minutes à la C.E c’est pourquoi le professeur et les élèves n’ont pas assez de temps de transmettre les connaissances (pour le professeur) ou achever leur lecture (pour les élèves). Il est facile de constater que les séances de la C.E ne sont pas efficaces. De plus, les documents écrits des livres Tieng Phap sont assez courts et faciles alors que le concours national demande toujours aux candidats de comprendre un texte long et compliqué. Avec les méthodes d’enseignement traditionnelles les élèves ne peuvent pas comprendre tout le document. Alors, l’enseignement et l’apprentissage ne correspondent pas aux besoins des concours.
2.3. Application des stratégies
2.3.1. Façons de lecture
Cinq façons de lecture proposées par Ch.TAGLIANTE (1994, pp.124-127) sont la lecture "repérage", la lecture "écrémage", la lecture "survol", la lecture "approfondissement" et la lecture "de loisir et de détente". 
* La lecture "repérage" sert à rechercher des informations précises et ponctuelles dans des domaines comme annuaires, biographies, dictionnaires, index, modes d'emploi, articles de presse... Ce type de lecture s'effectue par des balayages successifs en diagonale très ouverte et verticalement dans le texte. La localisation de l'information recherchée devra être vérifiée par de nouveaux balayages à l'horizontale. Cette lecture favorise les premières hypothèses sur le contenu du texte et les prévisions sur l'organisation du texte. 
* La lecture "écrémage" permet d'aller à l’essentiel, de trouver les mots clés significatifs de ce qui est important, intéressant et/ou nouveau, de définir le type du texte et sa fonction. Ce type de lecture est utilisé quand on lit des documents courts comme articles de presse, pages de littérature, recueil de textes courts. Il consiste en quatre opérations par des balayages en diagonale et à la verticale et par des balayages à l'horizontale sur les passages qui semblent intéressants. Ces quatre opérations sont: 
- identification du texte
- anticipation par des hypothèses sur le contenu à l'aide des titres, des intertitres, des paragraphes et de la typographie. 
- repérage des mots clés à l'aide des débuts de paragraphes, des mots de liaison et des marqueurs de cohésion, des articulateurs. 
- vérification des hypothèses par reformulation des mots clés et reconstitution du sens global. 
* La lecture "survol" est utilisée pour comprendre l'intérêt global d'un texte long ou d'un ouvrage, pour dégager l’idée directrice, l'enchaînement des idées, le plan suivi, la structure d'ensemble pour sélectionner des passages intéressants, éliminer des détails. L'objectif final est de démystifier les objets à lire par une pratique de leur manipulation. Cette stratégie s'applique à des documents longs tels que des ouvrages d'information ou de réflexion, des journaux ou revues, un rapport, un mémoire... Elle consiste à 
- identifier l'objet à lire, par son auteur, le titre, les illustrations, l'éditeur, la collection, la date de parution, le format, la typographie...
- identifier l'idée directrice par les informations données par la quatrième de couverture, le sommaire, les têtes de chapitres, la préface, l'index, etc. 
- anticiper en faisant des hypothèses sur le contenu et en pratiquant la lecture "écrémage" dans l'introduction, la conclusion et de brefs extraits. 
- prendre des notes des idées clés et de façon dont elles sont traitées.
- vérifier ses hypothèses en lisant quelques passages choisis 
- décider de l'intérêt de l'ouvrage
* La lecture "approfondissement" a pour but de réfléchir, d'analyser en détail et de mémoriser. Cette stratégie de lecture demande au lecteur de rechercher d'une façon précise et approfondie des passages du texte, il s'agit d'une analyse fine et détaillée d'un texte, d'une reformulation du thème, des idées et de leur enchaînement. Ou applique souvent cette stratégie de lecture à des documents longs, des textes littéraires intégraux. 
* La lecture de loisir et de détente propose celle de ce qu'on aime. C'est une lecture linéaire, poursuivie ou abandonnée selon l'intérêt qu'on y trouve. 
2.3.2. Stratégies avant la lecture
La pré-lecture est une étape indispensable pour faciliter l’accès au texte et la formulation d’hypothèse. Cette étape réserve à préparer l’apprenant au texte qu’il va lire en s’assurant qu’il possède des connaissances sur le sujet, sur la réalité socio-culturelle du texte et, le cas échéant, lui en fournir. Dans cette étape, il faut que l’enseignant présente les mots-clés et les unités lexicales qui risquent de poser de problème (le vocabulaire).
Il faut activer ses connaissances antérieures, c’est faire liens entre le texte et ce qu’il connaît. Activer ses connaissances antérieures lui permet : 
- de donner un sens à ce qu’il lit
- de faire des prédictions sur le texte 
- d’acquérir de nouvelles connaissances
- de soutenir son attention pendant la lecture. 
Comment faire pour activer ses connaissances antérieures ? Il fait un survol du texte (parcours rapidement le texte, les gros titres et les sous-titres, les mots mis en évidence dans le texte-les mots surlignés, soulignés, en gras, l’organisation du texte) et il convient de répondre aux questions
- Quels indices le titre du document/le livre vous donne au niveau du sujet?
- Quelle sorte de texte s’agit-il?
- Pourquoi lisez-vous ce texte? Pour vous informer ou pour vous divertir.....?
- Que connaissez-vous déjà sur ce sujet?
- Quelles prédictions pouvez-vous faire?
2.3.3. Stratégies pendant la lecture
L’entrée dans le texte peut être suivie d’une première lecture silencieuse au cours de laquelle on demande aux apprenants de recueillir les idées essentielles (la compréhension globale), il s’agit de se faire une idée très générale du texte dans son ensemble, les éléments saisis peuvent être le cadre situationnel, la fonction communicative, le sujet abordé, l’intention de communication, l’information ou l’idée principale. Une série de questions: Qui? Quoi? Où? Quand? Comment?... peuvent être accompagnées. Et pour répondre à ces questions, on peut appliquer les stratégies suivantes
- Interpréter les éléments visuels : Les éléments visuels (titres, sous-titres, intertitres, illustrations) transmettent de l’information qui n’a pas besoin d’être exprimée par écrit. Ils peuvent aussi appuyer de l’information dans le texte.
- Se servir des indices grammaticaux (temps, mode) pour mieux comprendre le texte. Par exemple : le verbe au conditionnel exprime le fait incertain.
- Utiliser le contexte pour donner du sens à un mot nouveau : Les mots et les phrases qui entourent les mots inconnus s’appellent le contexte. Si on comprend l’idée générale du contexte, on devrait pouvoir deviner la signification générale des mots. 
- Interpréter les préfixes et les suffixes pour comprendre le sens d’un mot nouveau. Par exemple
Refaire = faire de nouveau (préfixe « re » exprime la répétition)
- Segmenter la phrase : Parfois une phrase est très longue et contient beaucoup d’information. Elle est difficile à comprendre. Dans ce cas, on enlève premièrement l’information qui n’est pas importante, divise la phrase en petits blocs, essaie de comprendre chaque petit bloc. 
- Interpréter le sens des connecteurs comme : En basant les connecteurs, on peut saisir la relation logique entre les phrase ou les paragraphes.
Nature des connecteurs logiques
Prépositions, loc. prépositives et diverses
Adverbes et locutions adverbiales
Conjonctions de coordination
Conjonctions de subordination
Relations logiques
Cause
–
en effet
car
pour que, parce que
Conséquence
–
aussi, alors, par conséquent
donc, et
de sorte que, si bien que
But
pour, à cette fin
–
–
pour que, afin de, en vue de
Opposition
malgré, au lieu de, en dépit de
cependant, toutefois, en revanche
mais, et, or
alors que, tandis que, même si
Condition
selon
en cas de
–
si, selon que
Comparaison
–
plus, moins, à la manière de
–
ainsi que
Prépositions, loc. prépositives et diverses
Adverbes et locutions adverbiales
Conjonctions de coordination
Conjonctions de subordination
Nuances argumentatives
Addition, énumération
–
de plus, d'abord, premièrement, enfin
et, or, ni..., ni...
ainsi que
Exemple
–
ainsi, par exemple
–
c'est ainsi que
Reformulation
c'est-à-dire, en d'autres termes
autrement dit, en bref, en un mot
–
–
Alternative
–
soit..., soit...
ou
soit que...,
soit que...
Gradation
–
également, et même
–
–
Conclusion
pour finir
en conclusion, finalement
–
–
	D’après 
- Identifier l'idée principale, secondaire
L’idée principale peut être implicite, ou sous-entendue. Cela signifie qu’elle se trouve dans le texte, mais n’est pas formellement exprimée. Il faut la trouver selon les idées présentées dans le texte.
L’idée principale peut être explicite. Cela signifie qu’elle est directement et clairement exprimée dans le texte.
Pour trouver l’idée principale, on peut trouver le fil commun dans les idées du texte, dégager l’idée principale de l’introduction et trouve un point qui appuie l’idée principale dans chaque paragraphe. C’est l’idée principale du paragraphe. 
Les idées secondaires sont les idées qui appuient l’idée principale. On trouve les exemples, les preuves, les explications, les énoncés qui aident à expliquer l’idée principale du paragraphe.
2.3.4. Stratégies après la lecture
Ces activités se font souvent à la maison plutôt qu'en classe. Il s'agit d’amener les apprenants à stocker et à consolider les connaissances acquises en vue d’utilisation ultérieure, surtout en organisant l’ensemble dé connaissances sous forme de schémas, de tableaux, de résumés, de liste de mots-clés.
Les activités de l’après-lecture permettent aux apprenants de réagir de manière personnelle au texte en établissant une relation entre ce dernier et leurs propres opinions, leurs propres sentiments et leurs propres expériences. Elles peuvent être :
- Raconter et reformuler l’information : Raconter l’information dans ses propres mots peut aussi tirer des conclusions, analyser l’information présentée, p. ex., les faits, les exemples, les détails, etc, noter ses observations, utiliser ses connaissances et ses expériences, trouver une explication qui convient à ce qu’il a lu et reformuler l’information ou paraphraser l’information. Quand on comprend bien l’information, on peut la raconter dans ses propres mots.
- Résumer un texte : Résumer les idées d’un texte, c’est rédiger un texte court et précis dans ses propres mots. Le résumé donne un aperçu des idées principales, suit brièvement l’ordre du passage, présente les idées de

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